Le TGI a donné raison à la FFT et s'est rétracté sur la désignation d’un mandataire ad hoc pour assurer la défense de la Fédération.
Le TGI donne raison à la FFT et se rétracte sur la désignation d’un mandataire ad hoc . Le Président du Tribunal de Grande Instance a donné raison, hier, à la Fédération Française de Tennis en annulant l’ordonnance du 17 janvier dernier qui avait désigné un mandataire ad hoc pour assurer la défense de la FFT, dans le cadre de la procédure pénale au Parquet National financier, actuellement au stade de l’enquête préliminaire.En effet, par cette décision la justice confirme la capacité des nouveaux dirigeants, élus le 18 février dernier, à assurer pleinement la défense des intérêts de la Fédération et à la représenter dans la procédure en cours.Cette action qui mettait en cause la légitimité de la gouvernance fédérale à représenter la FFT devant la justice avait été lancée à l’initiative de 5 clubs dont les présidents soutenaient Alexis Gramblat lors des dernières élections à la FFT : l’Association Cercle des Sports de la Marne, l’Association Tennis Squash de Maisons-Laffitte, l’Association Dijon TC, l’Association TC La Ravoire et l’Association Le Grand Bornand Tennis Club. La FFT, dans son intégralité, se réjouit de cette décision qui la rétablit dans son bon droit et clôt un épisode de la campagne électorale pour la Présidence de la Fédération.